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CO-CRÉATEURS

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PIERRE-OLIVIER GAUMOND

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CAMILLE BRUNET-VILLENEUVE

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LUCAS PRUD'HOMME

En rédaction d’un mémoire de recherche portant sur la place de la médecine dans la dramaturgie de Sarah Kane (École supérieure de théâtre, UQAM), après avoir complété deux baccalauréats (études littéraires françaises, UQAC ; études théâtrales, UQAM), il s’intéresse tout particulièrement à l’épistémologie scientifique, à la recherche en arts, à l’intertextualité et aux écritures dramatiques contemporaines.

 

Il alimente son obsession pour les textes et la création en arts vivants en remplissant le rôle de conseiller à la dramaturgie dans plusieurs créations de Baobab | Création multidisciplinaire, dont Le chemin que nous avons parcouru (Studios éphémères, 2018), En survolant la mer Égée (ZH 2019), Quelque chose de chuchotant entre la gloire et le désordre (ZH 2019). Plusieurs de ses textes de création sont publiés dans la revue littéraire La Bonante ; une courte pièce intitulée Crac est sélectionnée pour la 5e édition du Porte-voix, et lue au théâtre La Licorne (2016). Pour se garder en forme physiquement et créativement pendant nos (très) chauds étés, il travaille au SOS Labyrinthe dans le Vieux-Port de Montréal, où il devient, toujours en patins à roulettes, un improvisateur-clown, animateur de foules, chanteur-danseur et conteur de mauvaises blagues.

Une musicienne, habitée par le langage, ses effets sur le corps. Elle joue du piano depuis près de vingt-cinq ans, déjà. Rêve d’une thèse qui explorerait ce qu’elle nomme, pour l’instant, « les remous de la rencontre », dans l’œuvre de Virginia Woolf et de Nathalie Sarraute — suite (pas si logique mais qui s’impose) d’une réflexion sur « le » texte, et l’écriture, amorcée dans un mémoire de maîtrise déposé à la hâte, au début de 2018 (L’ostinato et le fantasme : poétique de la répétition chez Christine Angot, UQAM, Département d’études littéraires).

 

Avec Camille t’accroche (2011-2016), elle offre des ateliers-spectacles d’éveil musical. Elle enseigne le piano, le ukulélé, et dirige entre 2013 et 2017 la Chorale de quartier. Écrit, compose et réalise un album pour enfants : le projet Kläpp (2014). Signe la musique de plusieurs pièces de théâtre : Au-delà des marées (L’espace potentiel, en partenariat avec la Société québécoise de la schizophrénie), Babioles (Cabane théâtre) et Les couleurs de toi (Théâtre en cavale). Longtemps elle a joué du piano pour MEB, une artiste multidisciplinaire.

 

Elle organise des partys karaoké, dans le salon, autour du piano. Apprend les chansons préférées des ami.es, des colocs, des voisin.es : de tous ceux et celles qui osent la dégêne. Pour vous faire inviter, faudra lui écrire un mot, très doux — info@ladecombre.com.

 

https://klapp.bandcamp.com

https://www.cabanetheatre.com/babioles

https://www.facebook.com/LEspacePotentiel/

https://www.chezmeb.com

Il dépose, en septembre 2019, un mémoire de maîtrise (études littéraires, UQAM) qui pense la citation — visuelle, littéraire et musicale — dans l’œuvre de Madonna comme un acte politico-prophétique. Passionné par la culture populaire, la photographie, le cinéma et les arts de la scène, il termine, en 2011, un diplôme d’études collégiales en cinéma et communications (Collège Ahuntsic). Il signe deux films : le mini-métrage documentaire La liberté ou la mort (2010), qui s’intéresse à l'auteur-compositeur-interprète-anarchiste Landriault, ainsi qu’un vidéoclip satirique intitulé Like a King on a Throne (2011), inspiré par Les stars d’Edgar Morin et par Lady Gaga, Madonna, Grace Jones et David Bowie.

 

Enthousiasmé par l’artisanat, les arts textiles et le monde de la mode, il trouve refuge à la boutique Effiloché où il travaille, tout en apprenant les rudiments de la couture, de 2016 à 2018. Longtemps il danse à l’école Ballet Divertimento, de plus, en 2012 et 2015, il participe à une série de spectacles musicaux (The P.R. Project [2012] et Pas comme ça [2015]), ce dernier a été présenté à la salle Claude-Léveillée de la Place des Arts.

COLLABORATIONS

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CATHERINE CÔTÉ-MOISESCU

COMÉDIENNE

Catherine Côté-Moisescu grandit dans la région du Saguenay-Lac-St-Jean, où elle développe un intérêt profond pour les arts de la scène. Après l’obtention d'un diplôme d’études collégiales en arts et lettres, concentration théâtre (Cégep de Chicoutimi), elle complète un baccalauréat en enseignement de l’art dramatique (École supérieure de théâtre, UQAM), ainsi qu'une formation en jeu. Elle co-fonde la compagnie le Bain Public, qui produit plusieurs mises en lecture de textes dramatiques. Elle participe à plusieurs spectacles tels que Trouble (Festival Fringe 2016), Blank Placard Dance, replay (FTA 2017), Super Méga Continental (FTA 2017) et Parce qu’il fallait l’entendre de ta bouche (ZH 2018). Plus récemment, Catherine rejoint la compagnie de création multidisciplinaire  Primitif Météore (sabbat#TRMP (Festival SOIR 2018), Le Bureau de l’Échec (FAR 2019)). Illustratrice à ses heures, elle crée des affiches de spectacles et d'autres illustrations pour ses projets et, parfois, pour ceux de ses collègues et amis.

https://primitifmeteore.wixsite.com/website

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CAROLINE PROULX

SPÉCIALISTE DE L'OEUVRE DE MARGUERITE DURAS

Caroline Proulx est chargée de cours au département d’Études littéraires à l'UQAM et elle occupe également un poste au Collège Ahuntsic où elle enseigne les littératures française, québécoise et étrangères. Spécialiste des rapports entre littérature et psychanalyse, les conclusions de sa thèse, Violence du réel et fragmentation chez Hubert Aquin et Marguerite Duras, ont orienté ses recherches actuelles qui portent sur le savoir de l’œuvre comme malédiction chez des écrivains de la modernité et de la période contemporaine. Dans cette optique, elle s’intéresse d’ailleurs aux croisements entre psychanalyse, politique et anthropologie. Son dernier ouvrage publié en collaboration avec Sylvano Santini, Le cinéma de Marguerite Duras : l’autre scène du littéraire, est paru chez P.I.E. Peter Lang en 2015 et elle est aussi l’auteure d’articles, notamment « La malédiction comme posture de vérité : là où ça passe, ça traverse, ça respire » chez Duras qui vient de paraître aux éditions Classiques Garnier (2019) ainsi que « Dire le mal. Arthur Buies, écrivain maudit » qui sera publié dans la revue Voix et Images à l’hiver 2020. 

 

Outre ses occupations professionnelles, elle s’adonne à la création dès que faire se peut. À l’hiver 2010, elle a publié à Contre-jour un fragment de ce qui appartient à une trilogie romanesque en cours d’écriture. En 2011, elle a aussi monté un spectacle avec des étudiants dans le cadre d’un cours de production théâtrale. À l’occasion, elle se risque à la prose d’idées et elle se lance également dans d’autres formes de projets… qui l’amènent de temps à autre vers les sentiers et montagnes du Québec ou de l’Europe.

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LAURENCE GASCON

COMÉDIENNE

Laurence Gascon est détentrice d’un baccalauréat en études littéraires à l’UQAM où elle entame, en 2019, un mémoire de maîtrise sur les rapports entre empathie et littérature dans l’œuvre de l'essayiste et romancière américaine Susan Sontag.

 

Se consacrant depuis plusieurs années à la littérature — autant dans une élaboration critique, théorique que dans une élaboration plus privée et subjective — elle estime par ailleurs que toute recherche ou démarche créative qui prend pour horizon le texte fait rempart à la technocratisation de nos sociétés. C’est pour cette raison qu’elle accepte le rôle de F. dans Le Navire Night.

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